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Encore un petit tour en Islande pour parler d'autres fils : ceux qu'utilisent les femmes pour parer et se parer.
Tout d'abord des outils, nés de peu ( bois, os ...) mais avec beaucoup de savoir faire et de dextérité pour enjoliver le travail des doigts...
qui brodent pour un Dieu,
pour ses serviteurs,
chasuble brodée de l'évêque Jon Arason, 16° siècle, provenance Allemagne du Nord
ou pour se parer soi même !
...et de la tête aux pieds:
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Un petit vent d'air frais est passé sur mon site : une petite promenade s'impose...
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Plein de moutons dodus, doux et dociles à tricoter soi-même avec les kits que j'ai eu beaucoup de plaisir à mettre au point et qui sont en vente aux Ateliers de la Bruyère à Saugues.
Chacun des kits comprend les pelotes de laine locales (Blanche du Massif Central et Noire du Velay) issues des troupeaux locaux, les pattes et oreilles en feutre réalisé au sein des Ateliers de la Bruyère, les aiguilles à tricoter, la fiche explicative ainsi que la toison qui sert à rembourrer votre mouton réalisé. Le tout emballé dans une caissette en bois rappelant la caisse du mouton du "Petit Prince" d'Antoine de Saint Exupéry...
A retrouvé sur place, dans la boutique, route du Mont Mouchet à Saugues ou sur le web : http://lesateliersdelabruyere.fr/
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La laine est un élément primordial de l'artisanat islandais.
Mais si d'autres techniques artisanales ne sont plus employées, le tricot, introduit tardivement sur l'île (XVIème siècle), continue aujourd'hui à connaitre un plein essor et reste l’emblème de l'Islande.
Les mains de tricoteuses ont raconté leur histoire quotidienne,
en suivant des motifs improvisés ou tirés de livres de modèles...
...et ont cherché aussi à lutter contre le froid :
maillot de corps, gants du dimanche ou moufles des pêcheurs de harengs, bonnets...
Tricot à la main, mais aussi à la machine domestique:
Et les mains d'aujourd'hui racontent encore :
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